Le Jeudi 13 juin 2025, trois opérations d’arrestation visant sept présumés trafiquants de faune ont été menée par la Direction des Parcs Nationaux, en étroite collaboration avec le Commissariat Central de Kédougou, Monsieur le Procureur de la République de Kédougou, les Eaux et Forêts, ainsi qu’avec l’appui du projet Eagle Sénégal.
Les sept suspects ont été interceptés dans un hôtel local, en flagrant délit de détention, circulation et tentative de commercialisation de quatre peaux de léopards et d’une peau d’hyène, parmi les interpellés figuraient également les criminels responsables de l’abattage des léopards. Lors de leur audition, ils ont indiqué que ces contrebandes proviendraient principalement de la région du Parc National du Niokolo-Koba, dernier refuge de la grande faune sénégalaise, mais aussi du Mali et de la Guinée-Conakry.
Si les faits qui leur sont reprochés sont avérés, ils s’exposent à une peine d’un an d’emprisonnement, à des amendes, ainsi qu’à des dommages et intérêts, conformément à l’article L32 du Code de la chasse et de la protection de la faune. Cet article sanctionne la détention, la circulation et la commercialisation d’espèces protégées, ainsi que l’importation illégale d’espèces annexées à la Convention de Washington (CITES), ratifiée par le Sénégal, qui s’engage à en assurer l’application sur l’ensemble du territoire national.
C’est à Kaolack qu’en ce jeudi matin du 27 février, le Commissariat Centrale de Kaolack a vu débarquer sur son parking 02 hyènes apeurées, en piteux état, originaires du sine Saloum et enchaînées de la tête aux pieds par leur geôlier . Le présumé braconnier et trafiquant de ces 02 hyènes, a été interpellé en flagrant délit de détention, circulation et tentative de commercialisation de ces 2 animaux sauvages en compagnie de ses 3 présumés complices par les Agents des Parcs Nationaux , appuyés d’une solide équipe de policiers de la Brigade de Recherche de la Sûreté Urbaine du commissariat et de l’appui du projet Eagle de lutte contre le trafic de faune. Ils ont tous été placés en garde à vue et entendus par les services de Police et des Parcs Nationaux et seront sûrement présentés au parquet du Tribunal de Grande Instance de Kaolack où ils risquent de fortes amendes et des peines de prison pour acte de braconnage dans les réserves du Sénégal ainsi que la tentative de commercialisation de ces 2 hyènes.
Il est important de rappeler que nul ne peut se soustraire à la loi et prélever un animal sauvage dans la nature au Sénégal , sans en obtenir au préalable les autorisations nécessaires auprès des Parcs Nationaux ou des Eaux et Forêts.
Même si les hyènes jouissent parfois à tort d’une mauvaise réputation , elle sont pourtant intelligentes et vivent en famille avec une vraie structure familiale proche de la nôtre ; elles utilisent par exemple des pouponnières pour les jeunes hyènes qui sont gardées par une vieille tante pendant que les adultes partent en chasse. Fortement braconnées au Sénégal en autre pour leurs pouvoirs mystiques et l’alimentation du commerce illégal de faune vers l’international , elles font entièrement partie de l’ équilibre naturel fragile du Sine et Saloum en y étant son plus grand prédateur dans la chaîne alimentaire. Plus important encore , les hyènes contribuent largement au développement économique et touristique du Sénégal grâce aux nombreux visiteurs qui espèrent pouvoir observer cet animal atypique voir magique … ou entendre seulement son cri la nuit en brousse depuis leur chambre d’hôtel . Pour toutes ces raisons Il est indispensable de la respecter, de la protéger et de la maintenir coûte que coûte dans son environnement naturel.
Le trafic de peaux de léopard au Sénégal persiste.
Le vendredi 24 mai, deux présumés trafiquants transfrontaliers de faune sauvage ont été arrêtés par les agents des Eaux et Forêts et de la Chasse et la Police de Kédougou en possession d’une peau de léopard. Un des deux présumés trafiquants résiderait en Guinée tandis que son complice réside au Sénégal. Ils transportaient sur eux un grand sac contenant plusieurs peaux de félins sauvages fraîchement abattus, dont une peau de léopard, un animal sauvage hautement protégé par la loi au Sénégal comme en République de Guinée.
Les faits qui leur seraient reprochés au moment de leur présentation devant le Procureur de la République de Kédougou est la détention, la circulation, l’importation illégale (CITES) au Sénégal et la tentative de commercialisation d’une peau fraîche de léopard chassée illégalement dans les forêts de la République de Guinée pour être ensuite importée et vendue au Sénégal où la loi réprime ce trafic par son article L.32 du code de la chasse et de la faune.
Malheureusement ce trafic de peaux de léopards entre la Guinée et le Sénégal persiste depuis au moins 10 ans malgré les nombreux efforts déployés par les différents acteurs étatiques de la protection de la faune et les différentes ONG qui luttent « d’arrache pieds » et au coude à coude avec ces mêmes autorités en charge de la lutte contre le trafic de faune. En 10 ans, ce sont plus de 30 trafiquants de léopard qui ont et condamnés à des peines de prison ferme dans la région de Kédougou. Cela démontre la détermination et l’acharnement des braconniers et des trafiquants à nuire à notre patrimoine naturel, enlever toute chance aux prochaines générations africaines de connaître ces merveilleux et mystérieux félins tout en s’enrichissant illégalement au détriment des lois qui protègent les félins sauvages contre leur disparition dans la nature.
Les deux présumés trafiquants étaient également en possession de 02 peaux de serval, un petit félin sauvage élégant, très discret et beaucoup moins connu du public qui souffre lui aussi, comme son cousin le léopard du braconnage et du commerce illégal intensif.
Tous les trafics transfrontaliers en général sont un fléau qu’il faut combattre vigoureusement car ils peuvent mettre en péril le patrimoine naturel, la stabilité sécuritaire et économique d’un pays ; le trafic de faune n’en n’est pas exclu.
Une délégation conduite par un Juge d’Instruction français s’est rendue au Sénégal du 28 au 30 avril 2024 pour enquêter sur les ramifications africaines d’un trafic international d’espèce protégée anguila anguila (civelle européenne). L’enquête a débuté en février 2023, suite à la découverte par la Direction des Opérations Douanières (DOD) française d’un entrepôt situé en région parisienne abritant plus de de 300 kgs civelles (anguilles), destinées à être envoyées au Sénégal. Dans le cadre d’investigations confiées au Service d’Enquête Judiciaires des Finances (SEJF) français, d’autres saisies ont été opérées par les douaniers de l’aéroport de Roissy.
L’enquête a rapidement permis d’établir que le Sénégal était vraisemblablement utilisé comme pays de rebond de ces espèces protégées ayant pour destination finale l’Asie, nécessitant une coopération entre les deux pays. C’est dans ce cadre qu’une demande d’entraide judiciaire internationale a été transmise par le juge d’instruction français aux autorités judiciaires sénégalaises conformément à la convention d’entraide judiciaire entre le Sénégal et la France.
Les éléments recueillis lors de l’exécution de la Commission Rogatoire Internationale (CRI)ont permis de confirmer les premières investigations. La coopération entre les enquêteurs sénégalais de la DIC et les enquêteurs français a permis d’établir que les civelles péchées en France étaient acheminées depuis l’aéroport de Roissy dans les bagages en soute de passeurs de diverses nationalités asiatiques (Chinois et Malaisiens). Après un séjour d’environ 3 semaines dans des bassins spécialement aménagés dans des entrepôts de la périphérie de Dakar, les civelles étaient réexportées vers Hong Kong par fret aérien. Le passage par l’Afrique permettait de masquer l’origine réelle des civelles et d’éluder la réglementation liée à l’exportation de civelles anguila anguila protégées par la CITES, en déclarant frauduleusement la marchandise comme une autre espèce non protégée.
Plusieurs personnes ont été interpelées et entendues, notamment un ressortissant chinois, contre lequel un mandat d’arrêt international a été délivré, et qui pourrait faire l’objet d’une demande d’extradition par la France. Plusieurs perquisitions ont été opérées, permettant de récolter de précieux éléments de preuve, et de saisir une grande quantité de matériel utilisé par le réseau de trafiquants (climatiseurs, purificateur d’eau, appareil d’oxygénation de l’eau, bassins, congélateurs etc).
L’ONG EAGLE-Sénégal, spécialiste de la lutte contre le trafic de faune en Afrique, a également apporté son concours et soutien à cette affaire en mettant à disposition de la police judiciaire sénégalaise à travers la Division des Investigations Criminelles (DIC), les renseignements qu’elle détenait sur les agissements de l’organisation criminelle au Sénégal ».
Il est à rappeler que Le Sénégal règlemente la détention, circulation, commercialisation, importation et exportation des espèces sauvages notamment grâce au code de la chasse et de la faune et son adhésion en 1977 à la convention de Washington (CITES). Conformément à la loi , aucune espèce sauvage, ne peut faire l’objet d’ import-export au Sénégal de façon illicite sans en subir les conséquences légales.
Du 11 au 15 décembre 2023, Lyon a accueilli la 34th Interpol Wildlife Crime Working Group Meeting. Avec la participation de 165 personnes de 56 nationalités, dont 145 représentants gouvernementaux et 20 ONG, l’événement a été marqué par une présentation remarquable de Cécile Bloch, coordinatrice d’EAGLE Sénégal, sur la corruption dans le trafic de faune. La session a favorisé le partage d’expériences et la création de liens pour des collaborations futures. L’engagement des délégués gouvernementaux et des ONG témoigne d’une volonté collective de lutter contre les crimes liés à la faune sauvage. Cette réunion a renforcé la coopération internationale dans la lutte contre le trafic illégal d’espèces sauvages, soulignant l’importance cruciale de la collaboration mondiale pour la préservation de la biodiversité.
Les autorités sénégalaises poursuivent leur combat acharné contre le trafic de faune, une menace constante pour la biodiversité et la sécurité nationale. Malgré les défis persistants, le samedi 18 novembre, une nouvelle opération a mené à l’arrestation à Dakar d’un présumé trafiquant d’ivoire d’éléphants.
L’opération, orchestrée par la Direction des Eaux et Forêts en collaboration avec un important dispositif policier de trois unités différentes et appuyé par le Projet Eagle Sénégal a permis de mettre la main sur un trafiquant d’ivoire d’éléphant en flagrant délit de détention, mise en circulation et tentative de commercialisation de deux défenses d’éléphant et de 90 bijoux de luxe en ivoire sculpté. Cette initiative conjointe démontre une fois de plus l’engagement des autorités à lutter contre le trafic de faune sous toutes ses formes.
L’individu, de nationalité sénégalaise, a été appréhendé en possession de deux défenses d’éléphant de 15 kg chacune, ce qui est un poids conséquent et rare en Afrique de l’Ouest. Une impressionnante quantité de bijoux de luxe en ivoire, 17 dents de léopards et autres animaux protégés ont aussi été saisies. Une perquisition effectuée au marché Soumbédioune, dans son magasin a permis de découvrir des dizaines d’autres produits issus de l’éléphant et du lion, prêts à être écoulés dans le marché. Placé en garde à vue depuis samedi, il a été déféré au parquet du Tribunal de Dakar où il devra répondre de ses actes.
Cette arrestation de haut vol met en lumière le commerce illicite d’ivoire d’éléphant appelé aussi « Blood Ivory » pour ses liens reconnus avec des groupes terroristes très connus comme les Jenjaouids, la LRA, les Al Shabab (Al Qaida) qui financent en partie leurs actions sanglantes grâce aux revenus générés par la vente illégale d’ivoire d’éléphant. Pour rappel, un éléphant meurt toutes les 15 minutes sur le continent africain pour son ivoire. Un désastre pour la sauvegarde de l’espèce en Afrique. L’éléphant d’Afrique, qui fait partie des espèces intégralement protégées aux termes de l’article D36 du Code de la chasse sénégalais, inscrit à l’annexe I de la CITES est classé en danger critique d’extinction sur la Liste rouge des espèces menacées de l’UICN. L’espèce fait face à des pressions constantes en raison de la demande mondiale pour ses défenses en ivoire. Bien que le Sénégal ne compte pas un grand nombre d’éléphants sur son territoire, leurs défenses sont souvent importées d’Afrique Centrale ou du Gabon pour les besoins d’achat illégal de la communauté asiatique résidente au Sénégal.
Cette réussite contribue non seulement à la protection des espèces menacées, mais également à la préservation du patrimoine faunique du Sénégal, renforçant ainsi la paix et la sécurité aux frontières du pays. La communauté internationale est appelée à rester vigilante et à soutenir ces efforts cruciaux pour assurer un avenir durable aux espèces animales en danger et garantir la paix des Etats.
En ce mercredi 12 avril 2023, alors que la banlieue dakaroise s’affaire aux derniers préparatifs du « Kheudd », une équipe de choc d’Interpol Dakar en collaboration avec le projet EAGLE Sénégal s’apprête à mener une perquisition tambours battants au domicile d’un trafiquant de faune arrêté la veille à Abidjan pour tentative de commercialisation de perroquets protégés. Cette intervention a permis l’arrestation de 3 trafiquants présumés complices, la saisie de documents et de 11 perroquets Timneh, un type d’oiseau protégé non originaire du Sénégal.
Cette perquisition au Sénégal intervient à la suite d’une opération majeure de trafic d’oiseaux effectuée la veille en Côte d’Ivoire par l’Unité de police de Coordination de la lutte contre la criminalité transnationale (UCT) en collaboration avec le ministère des eaux et forêts de Côte d’Ivoire et l’appui du projet EAGLE Côte d’Ivoire. Cette opération transnationale a permis aux autorités d’Abidjan d’arrêter deux trafiquants dont le principal suspect est de nationalité sénégalaise, de saisir de nombreux documents d’importation et d’exportation de perroquets vers plusieurs pays africains dont le Sénégal et vers l’Occident pendant plus de 20 ans et de confisquer les 112 perroquets gris du Gabon qui étaient destinés à la vente au Sénégal.
A la suite de cette opération à Abidjan, Interpol saisit alors immédiatement son homologue sénégalais pour lui demander un appui dans cette affaire et aller procéder à la perquisition du domicile du trafiquant sénégalais arrêté. A l’issue de cette perquisition à Yeumbeul, les trois présumés complices de ce trafic de faune ont été entendus par Interpol et il leur serait reproché l’association de malfaiteurs et le trafic d’oiseaux sauvages dans le cadre d’un crime organisé transnational. Quant aux 11 perroquets Timneh saisis, c’est une espèce hautement en danger d’extinction, protégée par l’Annexe I de la Convention de Washington (CITES) interdisant formellement la commercialisation de cet oiseau. Ils sont actuellement pris en charge pour leur remise en santé par des soigneurs qualifiés avant d’être remis aux bons soins de la Direction des Eaux et Forêts et de la Chasse.
Par cette opération internationale inédite sur le thème du trafic de faune entre les deux pays, les autorités sénégalaises et ivoiriennes démontrent leur détermination commune à lutter ensemble contre le trafic de faune transnational et démanteler les réseaux de trafic d’oiseaux qui opèrent impunément entre le Sénégal et la Côte d’Ivoire.
Cette opération majeure entre nos deux pays est un exemple d’union de plusieurs forces pour combattre et mettre fin à une pratique illégale de l’exploitation de notre patrimoine faunique africain au-delà de nos frontières. Que les trafiquants se le tiennent pour dit, ils ne seront plus en sécurité nulle part.
La lutte contre le trafic de faune au Sénégal Oriental continue de porter ses fruits. Malgré les nombreuses sensibilisations faites au public et les messages forts envoyés aux trafiquants de faune de la zone de Kédougou par les tribunaux avec des condamnations de prison ferme pour chaque trafiquant, c’est une nouvelle opération d’interpellation, mise en œuvre par le Commissariat central de Kédougou, en collaboration avec la Direction des Parcs Nationaux qui a permis de mettre la main sur un trafiquant de faune, le 21 février dernier. L’individu, de nationalité burkinabé, a été arrêté en flagrant délit de possession et tentative de commercialisation d’une peau de léopard, d’une peau de serval, d’une peau de crocodiles et divers autres trophées de faune sauvage.
Déféré au Tribunal d’Instance de Kédougou, le trafiquant a été condamné ce mercredi 1er mars à une peine d’un mois ferme de prison pour importation, détention, mise en circulation et tentative de commercialisation de dépouilles d’espèces intégralement protégées.
Le léopard est un grand félin magnifique et discret, présent dans le parc national du Niokolo Koba et dans le sud du pays. Il est inscrit à l’annexe I de la Convention de Washington (CITES) qui réglemente la commercialisation des espèces hautement en danger de disparition de la surface de la planète. L’annexe I à laquelle appartient le léopard est la plus restrictive en matière de transport et commercialisation puisqu’elle interdit totalement son commerce et son déplacement mort ou vif hors des frontières de par le monde sauf pour des raisons scientifiques.
La région de Kédougou est une zone très touchée par le trafic de faune du fait de la présence du Parc du Niokolo Koba mais aussi de sa position frontalière avec le Mali ou la Guinée. Ce trafic est généralement lié à d’autres formes de banditisme organisé transfrontalier comme le trafic d’armes, de drogues, le trafic d’or, etc.
D’après le nombre de trafiquants de peaux de léopard et autres armes et munitions associées qui ont et arrêtés et condamnés depuis 2020 dans la zone sud orientale du Sénégal, la lutte contre le trafic de faune semble bien enclenchée grâce à une excellente synergie des forces vives des Parcs nationaux, des Tribunaux et des différentes Forces de Sécurité du Sénégal.
Un constat positif qui permet d’assurer la survie des espèces menacées, contribuant ainsi à la retenue du patrimoine faunique dans nos frontières et au maintien de la paix et de la sécurité à nos frontières.
Du nouveau dans l’affaire de criminalité faunique de Kédougou/ Moussala. Le troisième larron, propriétaire de la peau de léopard objet de l’infraction qui avait mené à l’interpellation des nommés Mouminou Touré et Seydou Mouhamadou a été condamné à 1 mois de prison ferme par le Tribunal d’Instance de Kédougou. Sonkolo Coulibaly a été arrêté le 11 novembre à Moussala à la frontière du Mali. Il était recherché depuis l’arrestation de deux de ses complices en flagrant délit de tentative de commercialisation d’une peau de léopard, une espèce intégralement protégée.
Du 5 au 9 décembre 2022, s’est tenue à Singapour, la 33ème réunion du Groupe de travail Interpol sur la criminalité liée aux espèces sauvages. Une rencontre qui a regroupé une centaine de fonctionnaires et agents des services chargés de l’application de la loi, experts, scientifiques et praticiens de divers secteurs, notamment de la société civile et du secteur privé pour échanger sur les approches, outils et techniques novateurs permettant de relever les défis actuels et émergents de la lutte contre la criminalité liée aux espèces sauvages dans le monde. La rencontre a vu la présence de Cécile Bloch, la coordinatrice de EAGLE Sénégal qui a représenté le Réseau Eagle et a fait un brillant exposé sur la Criminalité faunique et ses connexions possibles avec le Terrorisme au Sahel.
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