CRIMINALITE FAUNIQUE: Incroyable ! Encore 2 peaux de léopard saisies à Kédougou !

Criminalité faunique : la chasse aux trafiquants de peaux de léopard se poursuit au Sénégal oriental.

Une nouvelle opération d’arrestation menée le 02 août par la Direction des Parcs Nationaux ,en collaboration avec le Commissariat Central de Kédougou et l’appui du projet Eagle Sénégal a permis l’interpellation de quatre présumés trafiquants de faune en flagrant délit de détention, de circulation et de commercialisation de 2 peaux de léopard.

Ce phénomène de trafic de peaux de léopard va-t- il enfin s’arrêter ? On est en droit de commencer à se poser la question en tout cas. La dernière saisie à Kédougou date seulement d’il y a moins de deux mois avec 2 peaux de léopards saisies et 3 trafiquants de faune condamnés à entre 3 et 6 mois de prison ferme.

Pour ce troisième trimestre de l’année 2021, cette opération porte au chiffre catastrophique de 11 peaux de léopard saisies à Kédougou et 11 trafiquants interpellés (dont 7 déjà condamnés). Egalement, de 2018 à 2021, en seulement 2 ans et demi donc, d’après le projet Eagle-Senegal interrogé, un bien triste inventaire fait état de 15 peaux de léopard saisies au Sénégal et de 15 trafiquants condamnés.

Ces léopards issus du Parc National du Niokolo Koba, du secteur de Kédougou, ou des pays voisins sont souvent capturés et tués dans des conditions inhumaines. Pour rappel, ils sont intégralement protégés et ne bénéficient d’aucune autorisation de commerce possible mort ou vif. Cette espèce prend décidément le mauvais chemin, celui de l’extinction de l’espèce en Afrique de l’ouest.

CRIMINALITE FAUNIQUE: Les trafiquants de peaux de léopard persistent et tombent à Kédougou!

Criminalité faunique : la chasse aux trafiquants de peaux de léopard se poursuit au Sénégal oriental.

La lutte contre le trafic de peaux de léopard dans le Sénégal oriental se poursuit. Le samedi 12 juin 2021 une nouvelle opération d’arrestation a été organisée par la Direction des Parcs Nationaux de Tambacounda, avec le Commissariat Central de Kédougou et l’appui du projet  Eagle Sénégal.

C’est ainsi que trois (3) présumés trafiquants de peaux de léopard ont été interpellés dans un restaurant de la place en flagrant délit de détention, de circulation et de tentative de commercialisation de deux (2) peaux de léopards qui constituent une espèce de faune intégralement protégée au Sénégal, notamment par l’article L32 du Code de la Chasse et de la Protection de la Faune ainsi que par la Convention de Washington, aussi nommée “CITES” qui réglemente le commerce international d’espèces protégées et que le Sénégal a ratifié et se doit de faire appliquer sur l’ensemble du territoire nationale. Il est à noter que la saisie de ces deux (2) nouvelles peaux porte à dix (10), le nombre de peaux de léopard saisies dans le Sénégal Oriental ces cinq (5) derniers mois. Un constat alarmant puisque si le léopard est intégralement protégé, c’est que sa survie est fragile au Sénégal et dans toute la sous-région.

Nous devons défendre la paix de notre faune africaine, nos léopards, nos éléphants,  nos pangolins, nos rhinocéros, richesse naturelle  de notre patrimoine africain car c’est le prix à payer pour contribuer à  maintenir une bonne stabilité environnementale,  économique et sécuritaire  en Afrique.

CRIMINALITE FAUNIQUE : la chasse aux trafiquants de peaux de léopard se poursuit au Sénégal oriental.

Criminalité faunique : la chasse aux trafiquants de peaux de léopard se poursuit au Sénégal oriental.

La traque aux trafiquants d’espèces protégées ne cesse de produire des résultats tangibles. C’était le cas le mardi 1er juin 2021 à Tambacounda, les Parcs Nationaux, appuyés par les éléments de Police du Commissariat Central de Tamba et l’appui de Eagle-Sénégal, ont mené une opération d’arrestation en flagrant délit d’un présumé trafiquant de faune. Le sieur Mansour a été interpellé en train de vendre illégalement 2 peaux de léopard en provenance du Mali. Cette arrestation est en parfaite conformité avec «l’article L32  du Code de la chasse interdisant toute détention, circulation et commercialisation d’espèces intégralement protégées au Sénégal dont le léopard fait partie et en parfaite  violation de la convention  Cites (convention qui règlemente  le commerce,  l’impor­ta­tion/expor­tation des espèces de faune en danger)». Le présumé trafiquant de peaux de léopard a été interpellé la main dans le sac en train de vendre sa contrebande dans un restaurant de la place.  Chauffeur poids lourd de profession,  il aurait pour habitude de passer ce type de trafic transfrontalier entre le Mali, le Burkina Fasso et le Sénégal pour s’enrichir de manière illicite. Le projet Eagle Sénégal fait aussi état de «pas moins de 8 trafiquants de peaux de léopard qui ont été interpellés et condamnés dans la région du Sénégal Oriental (Tamba­counda et Kédougou) et un chiffre record pour le Sénégal de 16 peaux de léopard saisies ainsi que plusieurs armes de guerre et munitions». «Un bien triste record», aux yeux des membres du projet car «ces animaux sauvages magnifiques réservés au tourisme de vision, qui permet de faire marcher l’économie nationale et locale, contribuent de leur vivant  à la paix et au développement  du Sénégal».



CRIMINALITE FAUNIQUE: Sur la route du déclin des léopards d’Afrique de l’Ouest ?

Le Mercredi 17 Mars 2021, une opération d’arrestation de deux présumés trafiquants de faune a été menée par la Direction des Parcs Nationaux, avec la collaboration étroite du Commissariat Central de Kédougou, de Monsieur le Procureur de la République de Kédougou et de l’appui du projet Eagle-Sénégal. Les deux présumés trafiquants de faune ont été surpris dans un hôtel de la place, en flagrant délit de circulation détention, tentative de commercialisation de 3 peaux de léopards, 17 ivoires d’hippopotames et 1 peau de Hyène. Les deux présumés trafiquants ont été entendus sur les faits qui leur sont reprochés et affirmeraient que toutes ces contrebandes proviennent du Sénégal, dans la région du Parc National du Niokolo Koba dernier havre de paix de la grande faune sénégalaise; mais aussi du Mali et de la Guinée Conakry. Si les faits qui leurs sont reprochés étaient avérés ils risquent une peine d’un an d’emprisonnement , des dommages et intérêts et amendes selon l’article L32 du code de la chasse et de la protection de la faune portant sur la détention, la circulation, et la commercialisation d’espèces protégées ainsi que sur l’importation illégale d’espèces annexées à la Convention de Washington, aussi nommée « CITES » que le Sénégal a ratifié et se doit de la faire appliquer sur l’ensemble du territoire nationale .

CRIMINALITE FAUNIQUE: Encore un trafiquant de faune arrêté à Tambacounda avec 1 peau de léopard importée.

Le 28 janvier 2021, à Tambacounda un trafiquant de faune, ancien ASP (Agent de Sécurité de Proximité), a été arrêté en flagrant délit de détention, circulation, commercialisation et importation illégale d’une peau de léopard, une espèce intégralement protégée au Sénégal et par la Convention de la CITES sur les restrictions de commercialisation internationale des espèces sauvages protégées.

CRIMINALITE FAUNIQUE: 2 trafiquants de faune arrêtés avec 1 peau de léopard et une arme de guerre avec ses munitions.

Le 26 janvier 2021 à Tambacounda, une opération de lutte contre le crime faunique a permis l’interpellation de 2 présumés trafiquants de faune, d’une arme de guerre de type AK47 et ses munitions, d’une peau de léopard fraîchement abattu, de 14 ivoires d’hippopotame. Cette opération a été menée par les Parcs Nationaux de Tambacounda, en collaboration avec le Commissariat Central de Tamba et l’appui d’Eagle-Sénégal. Ils sont poursuivis pour les faits de détention, circulation, commercialisation de contrebandes de faune intégralement protégée.
Le trafic de faune sauvage, en plus d’être une calamité pour la préservation de certaines espèces de faune dans leur milieu naturel, est un vecteur majeur de transmission de zoonoses entre l’animal et l’homme (Covid-19, Grippe aviaire…) et connaît des connexions dangereuses reconnues, comme le trafic d’armes, de drogue, les groupes terroristes.
Ils sont en infraction au regard de l’article L32 du code de la chasse et de la protection de la faune ainsi que de l’article 8 de la loi n° 66-03 du 18 Janvier 1966 relative au régime général des armes et des munitions.